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Système : Rein

Introduction

Les cancers du rein se classent parmi les 10 tumeurs les plus courantes chez les hommes et les femmes. Le taux de mortalité est élevé avec un risque métastatique global de 50%.

Au fil des années, les classifications histologiques ont changé. Le type histologique des tumeurs, le grade et le stade sont des facteurs prédictifs. De nouvelles entités ont été intégrées, et leur diagnostic nécessite une analyse histologique, immunohistochimique et moléculaire.

Lors de l’analyse d’une biopsie ou d’une pièce opératoire, des difficultés multiples peuvent être rencontrées : définir le type histologique des carcinomes rénaux, reconnaître les cancers du rein rares, en particulier ceux nécessitant une analyse moléculaire et différencier les tumeurs bénignes des tumeurs malignes du rein.

Pourquoi solliciter un deuxième avis ?

Dans le réseau français des cancers du rein rares (Carare, Institut national du cancer / INCa), nous avons noté un taux de discordances diagnostiques rapporté d'environ 30%.

Un diagnostic pathologique erroné peut conduire à une prise en charge inappropriée pouvant affecter la stratégie thérapeutique.

Un deuxième avis est donc nécessaire lorsque le pathologiste référent n’est pas certain de son diagnostic ou si le patient ou son médecin souhaite obtenir un deuxième avis.

Les principales questions sur les cancers du rein sont les suivantes :

  • Est-ce un cancer ou pas? (oncocytome vs carcinome à cellules rénales chromophobes)
  • Est-ce un cancer rare? (angiomyolipome épithélioïde)
  • Le sous-type histologique est-il correct? (carcinome papillaire rénal sous-type 1 vs 2)
  • La tumeur rénale nécessite-t-elle une analyse moléculaire (carcinome MITF, carcinome SDHB) …